Visite
La Maison de Charles Corm restaurée
22 novembre, 2022 - 22 novembre, 2023
Durement éprouvée, la maison de Charles Corm (1894-1963) se réveille d’un long sommeil. Livres, mémentos et meubles reprennent leur place d’antan, et nous invitent dans l’univers magique du poète.
Tel un phare qui illumine Beyrouth, la tour blanche de Charles Corm fut longtemps l’une des plus hautes structures de la ville. Imaginée en 1928 par Corm lui-même, l’immeuble est un clin d’œil aux gratte-ciels américains qui se construisent à l’époque.
Conçu pour héberger l’agence Ford et son administration dont il est le représentant pour le Levant, de nombreuses voitures furent montées ici. L’intérieur garde encore des traces de ce passé industriel avec des phares de voitures employés comme luminaires.
À la fin des années 30, Corm quitte le monde des affaires pour se consacrer à l'écriture et transforme le siège de sa société en résidence familiale. C’est ici que ses quatre enfants grandissent entourés de meubles Art Déco et Bauhaus ainsi que d’une impressionnante bibliothèque.
Écrivains, artistes et figures illustres s’y rencontrent autour de la personnalité de Corm qui lance les conférences des Amitiés Libanaises dans sa bibliothèque. Dans le jardin, le sculpteur Youssef el Hoayek a son atelier.
Le début de la Guerre du Liban en 1975 sonne le glas de cet âge d’or. Occupée par diverses milices, la maison est sévèrement bombardée et ressort meurtrie par les années de conflit.
Patiemment restaurée, elle renaît en 2022 en tant que Fondation Charles Corm pour redevenir un lieu de rencontres et d’échanges, ouvert à tous, au cœur de Beyrouth.
Écrivains, artistes et figures illustres s’y rencontrent autour de la personnalité de Corm qui lance les conférences des Amitiés Libanaises dans sa bibliothèque. Dans le jardin, le sculpteur Youssef el Hoayek a son atelier.
Le début de la Guerre du Liban en 1975 sonne le glas de cet âge d’or. Occupée par diverses milices, la maison est sévèrement bombardée et ressort meurtrie par les années de conflit.
Patiemment restaurée, elle renaît en 2022 en tant que Fondation Charles Corm pour redevenir un lieu de rencontres et d’échanges, ouvert à tous, au cœur de Beyrouth.
Conçu pour héberger l’agence Ford et son administration dont il est le représentant pour le Levant, de nombreuses voitures furent montées ici. L’intérieur garde encore des traces de ce passé industriel avec des phares de voitures employés comme luminaires.
À la fin des années 30, Corm quitte le monde des affaires pour se consacrer à l'écriture et transforme le siège de sa société en résidence familiale. C’est ici que ses quatre enfants grandissent entourés de meubles Art Déco et Bauhaus ainsi que d’une impressionnante bibliothèque.
Écrivains, artistes et figures illustres s’y rencontrent autour de la personnalité de Corm qui lance les conférences des Amitiés Libanaises dans sa bibliothèque. Dans le jardin, le sculpteur Youssef el Hoayek a son atelier.
Le début de la Guerre du Liban en 1975 sonne le glas de cet âge d’or. Occupée par diverses milices, la maison est sévèrement bombardée et ressort meurtrie par les années de conflit.
Patiemment restaurée, elle renaît en 2022 en tant que Fondation Charles Corm pour redevenir un lieu de rencontres et d’échanges, ouvert à tous, au cœur de Beyrouth.
Écrivains, artistes et figures illustres s’y rencontrent autour de la personnalité de Corm qui lance les conférences des Amitiés Libanaises dans sa bibliothèque. Dans le jardin, le sculpteur Youssef el Hoayek a son atelier.
Le début de la Guerre du Liban en 1975 sonne le glas de cet âge d’or. Occupée par diverses milices, la maison est sévèrement bombardée et ressort meurtrie par les années de conflit.
Patiemment restaurée, elle renaît en 2022 en tant que Fondation Charles Corm pour redevenir un lieu de rencontres et d’échanges, ouvert à tous, au cœur de Beyrouth.